Jackie Chan dans le Bronx
MAIS, IL RONRONNE CE SITE ! Un peu d'action pour changer, avec cette œuvre majeure du cinéma hongkongais.
Keung (Jackie Chan) débarque à NY et, comme il se doit, se retrouve immanquablement impliqué dans une confrontation avec un gang du cru. Après moult péripéties, Keung en a assez et décide d'aller montrer son kung-fu dans le quartier général de la bande. À 53'13, il affronte le chef Tony (Marc Akerstream), le mec habillé comme le cousin à Popeye.
Bien que peu recommandables, il sera beaucoup pardonné à ces voyous qui semblent nourrir une véritable passion pour les flippers (bon, on verra par la suite qu'ils ne sont pas non plus particulièrement soigneux). Dans leur local, on trouve un Strikes and Spares de Bally, un Flying Chariots de Gottlieb, un Darling de Williams, un Dragon de Interflip - un flipper espagnol dans le Bronx ! Incredible ! - et de nombreux playfields. Un œil attentif remarquera que, d'un plan à l'autre, les flippers en question ont la fâcheuse tendance à changer de place, les coquins.
OUCH ! comme on dit dans le Bronx. Tony s'en prend plein les vertèbres et a sûrement déjà décidé qu'il valait mieux être copain avec Keung. S'en suit néanmoins une bagarre où l'on découvre qu'un flipper peut aussi, à l'occasion, servir d'arme de combat pour qui est un tant soit peu habile de ses mains.
À partir de là, c'est le massacre. Il est clair qu'on ne pourra pas dire qu'aucun flipper n'a été maltraité durant le tournage. Âmes sensibles s'abstenir.
Au mur, on peut admirer quatre plateaux de flipper Bally (Rolling Stones, Eight Ball Deluxe, Mystic et Future Spa) et un plateau non identifié.
Apparition repérée par : webmestre
Source photos : webmestre
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Créé le7 juin 2016