Une nuit folle, folle

Un petit gars farfelu entraîne cinq équipes triées sur le volet parmi les étudiants de son école dans un grand rallye nocturne à travers Los Angeles. Une des étapes se trouve au Pinball City, qui finit par être le théâtre d'une grande bataille de peluches. Avec cette petite comédie assez trépidante, les productions Disney essaie de sortir du créneau des films pour enfants qui ont ravi quantité de têtes blondes durant les années 1970. Quelques gags grivois et, surtout, une vraie exposition de premiers flippers électroniques à 76'26. Et pour David Naughton (ci-dessous) et Michael J. Fox, un de leurs premiers rôles à l'écran.

Dans un coin de la salle et de gauche à droite : un Trident (Stern), un Fireball (Bally), un World Cup (Williams), un Mata Hari (Bally), un Eight Ball (Bally), un Dragon (Gottlieb), un Bobby Orr Power Play (Bally), un Wizard! (Bally), un Flash (Williams), un Middle Earth (Atari), un Black Jack (Bally), un Space Riders (Atari), un second Power Play, un Evel Knievel (Bally), un Getaway (Allied Leisure) et un Playboy (Bally).

Dans une autre partie de la salle, derrière le propriétaire du salon de jeu (Paul Reubens), déguisé en cow-boy : un Royal Flush (Gottlieb) et un Supersonic (Bally).

Plus loin encore : un Thunderbolt (Allied Leisure), un Joker Poker (Gottlieb) et un The Atarians (Atari).

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Source photos : webmestre